Comment appliquer antifouling matrice dure ?

Dans le but de protéger la partie immergée de la coque de votre bateau des effets nocifs des algues et des coquillages, vous avez fait le choix pour un antifouling matrice dure. Et maintenant que vous l’avez entre les mains, il ne vous reste plus qu’à l’appliquer en employant la bonne méthode.

Pourquoi faire le choix pour un antifouling matrice dure ?

Si vous avez fait le choix pour un antifouling matrice dure, c’est que vous êtes conscient que c’est la peinture qui correspond au mieux à vos critères de sélection. À savoir, le type de votre bateau, sa zone de navigation et sa fréquence d’utilisation.

Concernant le type du bateau, sachez que cette peinture protectrice est la mieux indiquée pour les embarcations motorisées avec une vitesse de navigation supérieure à 25 nœuds. Et d’ordre général, elle est parfaite pour une coque en Polyester, en acier ou en bois, sauf pour l’aluminium et autres métaux légers.

Côté environnement d’utilisation, pensez que cette catégorie d’antifouling est parfaite pour les zones de marées, de courant et les longues traversées. Le fait est qu’avec sa matrice dure, il est conçu pour résister aux frottements, à l’échouage, aux sables ou encore aux trajets sur remorque. La même raison qui fait de cette peinture le meilleur choix pour des usages fréquents. 

Équipez-vous convenablement

Vous avez choisi de vous passer des services d’un professionnel. Dans ce cas, vous devez vous équiper convenablement selon les étapes.

À commencer par la phase de préparation de la coque durant laquelle vous aurez besoin d’un nettoyeur haute pression. Mais pas seulement puisque le ponçage et le décapage aussi sont de la partie et nécessitent respectivement un racloir ou disque abrasif à l’eau ainsi qu’un Décapant antifouling.

Vous devez aussi penser aux matériels nécessaires pour l’application de l’antifouling matrice dure en vous équipant d’adhésifs de masquage et de diluant (facultatif). Et puisqu’il s’agit de travaux de peinture, n’oubliez pas le mélangeur, le bac à peinture, la patte de lapin ainsi que le support qui va avec.

Dans tous les cas, n’oubliez pas de vous protéger en portant un masque, une combinaison, des lunettes et des gants.

Œuvrez comme un spécialiste

Maintenant que vous avez les matériels nécessaires pour l’application de l’antifouling matrice dure, il ne vous reste plus qu’à œuvrer comme un spécialiste en commençant par le nettoyage.

Durant cette étape, votre premier objectif est d’éliminer les salissures qui se trouvent sur la coque en utilisant le nettoyeur à haute pression.

Après, faites en sorte que votre carène se présente sous un aspect lisse à la touche en faisant appel au racloir ou au disque abrasif à l’eau. C’est la phase du raclage de la surface en visant particulièrement les grosses imperfections.

Si besoin, n’hésitez pas à utiliser le décapant antifouling pour une touche finale qui a pour but d’enlever toutes les impuretés. C’est l’étape facultative du décapage.

Maintenant que la coque est bien propre, pensez à protéger les surfaces à ne pas peindre en utilisant l’adhésif de masquage. Et surtout, n’oubliez pas de bien mélanger l’antifouling dans le but de le rendre bien homogène. Ce qui devrait être facile avec l’aide d’une perceuse électrique ou d’un mélangeur.

Après quoi, vous êtes prêt pour l’application de l’antifouling matrice dure en faisant appel aux outils de travaux de peinture susmentionnés. Une phase cruciale qui s’effectue en deux étapes majeures :

  • L’application de la première couche suivie d’un temps de séchage de 3 à 4 heures à 20 °C ;
  • L’application de la deuxième couche suivie d’un temps de séchage de 3 heures minimum.

À noter : L’application doit s’effectuer en croisant les passages et en mettant l’accent sur les zones à fort frottement. Il serait également plus judicieux de s’accorder 24 heures avant la mise à l’eau. 4 heures au minimum en cas de contraintes.  

Quelle peinture sous la ligne de flottaison ?

Entretenir son bateau demande beaucoup plus de temps, notamment pour le renouvellement de la peinture de toutes ses pièces. Pour le cas de la ligne de flottaison, c’est-à-dire la ligne qui sépare la partie immergée de la coque de la partie émergée, il serait idéal d’adopter une nouvelle peinture marine. La peinture de cette ligne de flottaison engendre un effet sur la vie sous-marine, sans oublier également que sa belle couleur reflète le bon design de votre navire. C’est pourquoi il est important de la peindre suivant les normes requises.

Quel est le rôle de la ligne de flottaison ?

La ligne de flottaison a comme fonction de sectionner les œuvres vives ou la coque d’un navire et les œuvres mortes ou la partie émergée. Grâce à cette ligne, le bateau peut supporter une grande capacité de charge selon l’embarcation souhaitée dès le départ voire même jusqu’à l’arrivée.

Pourquoi peindre la ligne de flottaison ?

Après leurs nombreuses années d’expérience, les constructeurs navals ont constaté qu’il faut mettre une peinture adéquate pour la ligne de flottaison surtout quand la peinture existante est entièrement décapée. Auparavant, pour les bateaux avec une coque en bois, les peintres ont utilisé des feuilles de cuivre pour empêcher les organismes de diriger vers la coque. Après quelques années, la plupart des bateaux avec une coque en acier ou métal ont été colorés en rouge vif

De nos jours, après diverses recherches, les experts utilisent des peintures spécialisées, appelées «peinture antisalissure». Ces différents modèles de peinture marine protègent la ligne de flottaison et lui permet de  Il existe différentes sortes de couleurs, de différentes marques, selon le type de couches.

Préparation à faire et démarche à suivre

Toute activité de peinture marine nécessite de toute évidence une préparation soignée. Pour la peinture de la ligne de flottaison, il s’agit avant toute une préparation de la carène ou la partie de la coque. Pour ce faire, un matériau de masquage du bateau est important. Ensuite, vous devez fournir les matériels de peinture comme les pinceaux au pistolet ou au rouleau.

Si tout est prêt, vous pouvez commencer la peinture par la première couche, une légère couche d’accrochage. Ensuite, passez à la couche de couleur moins épaisse et laissez-la se sécher pendant environ 10 min pour une deuxième couche. Enfin, une troisième couche semble être parfaite et la ligne de flottaison sera beaucoup plaisante au regard dans 2h.

Quelle est la peinture idéale pour la ligne de flottaison ?

Presque tous les bateaux professionnels ont une peinture coque ou rouge célèbre. Apparemment, la ligne de flottaison est colorée en rouge plus foncé. Pour la couche primaire, la peinture « interprotect » ou le « Yacht Primer » sont des peintures marines conçues pour un usage professionnel. Pour la deuxième, il existe une peinture spécialisée appelée enduits ou Epoxy. Vous pouvez en choisir parmi les différents produits comme le « Watertite ».

Enfin, afin d’avoir une belle peinture, les spécialistes ont conseillé d’appliquer une troisième couche. Ainsi, les peintures marines appelées « interprime 880 » ou « One up  sont » sont des sous-couches les mieux convenables.

Qu’est-ce qu’un guindeau électrique et comment le débrayer?

Le guindeau est généralement un appareil situé dans la baille à mouillage ou sur le pont avant du bateau. Il a pour rôle de lever et jeter rapidement l’ancre sans affecter le dos. À l’heure actuelle, tous les guindeaux sont déjà électriques qui peuvent fonctionner manuellement, avec une télécommande ou commandé vers un poste de pilotage. Mais, quelle est l’importance de ce guindeau électrique et comment peut-on le débrayer ?

L’importance d’un guindeau électrique

Premièrement, un guindeau électrique est destiné au bateau disposant d’un moteur in-bord comme les grands voiliers de croisière. Il est également parfait pour ceux qui ont tendance à naviguer en solitaire. Un guindeau électrique doit généralement distinguer trois parties : le moteur, la boîte de réduction et le barbotin. Grâce à ces trois parties que ce bandeau fonctionne normalement.

Le moteur électrique permet de produire la rotation d’arbre avec une puissance démultipliée par la boîte de réduction. Quant au barbotin, la couronne à empreintes, il permet d’entraîner la chenille grâce à la force du moteur. Cette action permet de relever et descendre l’ancre en toute fluidité. Avec une vitesse assez rapide, le guindeau électrique permet de remonter la chaîne qui peut aller jusqu’à 12 m/min.

Comment choisir un guindeau électrique

Tout en étant équipé de mouillage, il est nécessaire de choisir un bon guindeau électrique adapté avec le bateau. Plusieurs paramètres doivent être respectés afin de faire le bon choix.

  • Les modèles : un guindeau électrique possède deux modèles : le vertical et l’horizontal. Le premier est parfait si vous disposez d’un large espace sous le pont ainsi qu’une profondeur de chute de moins de 40 cm. Ce modèle est doté d’une surface de chaîne et de barbotin de 180°. En ce qui concerne le deuxième modèle, il est idéal également pour un bateau qui ne possède pas d’espace. Même, cela n’implique que son installation et son entretien peut être effectué facilement.
  • La taille : le guindeau électrique dépend également de la taille de la profondeur. Car elle a pour but d’accueillir la longueur de cordage.
  • Le moteur : il est nécessaire que le moteur du guindeau soit puissant pour qu’il puisse tracter facilement toute sorte de poids

Comment débrayer un guindeau électrique

Le guindeau électrique peut être déblayé afin de fonctionner manuellement avec une manivelle de type winch ou de type ad-hoc. Voici quelques étapes à suivre pour vous guider à passer en mode manuel. Tout d’abord, il faut que vous ayez des pièces détachées comme des deux petites vis et une grosse pièce exactement identique à la manivelle.

  • Avant de desserrer la poupée, il faudra tout d’abord que vous bloquez le piquet mais cela ne doit pas être effectué trop pressé en utilisant une tourne vis.
  • Après que le piquet soit réellement bloqué, vous pouvez ainsi desserrer la poupée avec la manivelle.
  • Ensuite, mettez la pièce identique à la manivelle en le fixant avec les deux vis.
  • Enfin, vous devez fixez la manivelle pour pouvoir remonter facilement la chaîne avec la manivelle.

Quelle puissance coupleur séparateur choisir ?

Un coupleur séparateur de batterie est un dispositif à double activité habituellement utilisé sur les bateaux. Il assemble surtout la batterie moteur à la batterie auxiliaire de ce dernier. Grâce à un alternateur, le coupleur de batterie recharge la batterie complément avec une batterie moteur. En général, ce dispositif met en parallèle la batterie moteur et les batteries secondaires pour recharger ces dernières. De ce fait, il est énergétiquement autonome pendant les longs déplacements. Mais pour un bon fonctionnement de votre navire, il est nécessaire de prendre certaines précautions.

Comment choisir le meilleur coupleur séparateur ?

Il est nécessaire de vérifier la puissance de votre alternateur avant d’installer un coupleur de batterie pour savoir si la puissance de l’alternateur est assez suffisante pour la charge de deux batteries ou plus. Elles devraient aussi avoir la même ancienneté. Certaines conditions sont essentielles pour choisir le coupleur de batterie.

  • Premièrement, il faut d’abord connaître la norme Euro de votre bateau. Il doit être le plus faible possible.
  • Ensuite, s’instruire sur l’intensité de votre alternateur et la tension de différentes batteries branchées.
  • Il est aussi important de s’informer sur la composition de la batterie secondaire bateau. Par exemple, batterie AGM bateau ou Lithium bateau.

Pour monter le système, il est mieux d’assembler un câblage de section adéquat, d’environ 6 mm à 10 mm2. Il est aussi préférable d’associer des batteries de même capacité ou de 10 % de marge maximum entre les autres batteries.

Comment fonctionne un coupleur séparateur de batterie ?

Le coupleur séparateur de batterie dispose d’un mode de fonction essentiellement simple. Pendant la navigation, la batterie moteur se recharge à l’aide de l’alternateur. Cependant, les batteries ont tendance à avoir un seuil à ne pas franchir. Quand ce seuil est atteint, le coupleur de batterie recharge machinalement la batterie auxiliaire.

Au moment où le navire s’arrête, une baisse de tension significative subsiste. Le coupleur de batterie divise automatiquement les deux batteries quand la baisse de tension touche le seuil nécessaire, cela a pour but d’éviter que la batterie moteur se décharge. L’utilisation du coupleur séparateur est alors flexible à certains règlements. D’ailleurs, le choix d’un coupleur de batterie varie en fonction de divers éléments : la norme Euro, l’intensité, la puissance et la composition de la batterie auxiliaire, telle mentionnée ci-dessus.

Quels sont les avantages du coupleur de batterie ?

Le coupleur de batterie permet de faciliter l’utilisation des autres appareils à bord de votre navire. Cet appareil protège principalement la batterie moteur. L’appairage du bon fusible entre la batterie auxiliaire et le coupleur séparateur de batterie permet d’éviter les courts circuits du système. Le coupleur de batterie est en effet peu encombrant grâce à leur taille et leur poids qui est partiellement faible. L’aménagement d’un coupleur de batterie peut aussi allonger la durée de vie des batteries. L’assemblage des batteries avec un tel dispositif garantit forcément un voyage confortable avec une autonomie énergétique optimale pour les déplacements de grande distance.

Comment installer une pompe de cale ?

Différent des autres moyens de transport maritime, un bateau est comme un grand système dont chaque petite ou grande pièce est interdépendante. Pour les grands bateaux, la cale ou la partie aménagée pour faciliter l’embarquement et le débarquement a besoin d’un entretien plus attentif. Ainsi, la pompe de cale maintient la cale asséchée, en situation d’urgence comme en navigation normale. Mais comment installer une pompe de cale ?

Bien choisir une pompe de cale

Étant un élément de sécurité navale pour avoir plus de confort, la pompe de cale est très nécessaire pour garder les pieds au sec en cas de voie d’eau. Ainsi, étant capitaine dirigeant tout l’équipage ou des gens marins, si vous devez changer votre pompe navale, il en existe différents types. Plusieurs marques célèbres comme Johnson pump, Seaflo ou Whale sont idéales pour les grands bateaux ou même un bateau de petite taille.

De nos jours, la technologie marine ne cesse de s’évoluer. Les experts cherchent toujours les meilleurs outils afin de minimiser les accidents maritimes comme le naufrage et l’écoulement. En effet, il faut bien choisir la pompe de cale pour évacuer les eaux et les déchets inutiles.

Quels sont les différents types de pompe de cale ?

Il s’agit de 4 types de pompe de cale qui peuvent être employé selon la taille de votre cale :

  • pompe manuelle portable ou à siphon : cette pompe manuelle est légère et possède un débit trop faible contre la voie d’eau. Elle ne requiert aucun entretien.
  • Pompe manuelle à membrane ou fixe : elle est un peu plus forte que la pompe manuelle, son débit est entre 25 à 100L/mn.
  • pompe à turbine déportée : c’est une turbine haut de gamme, avec une puissance de 12 à 15 V et un débit de 1950à 4500 L/H. Elle supporte les eaux sales et les petits déchets.
  • pompe immergée électrique : très haut débit également, son débit atteint environ 1500 à 4950 L/heure.

Quel processus à suivre pour un montage optimal ?

Comme toute autre installation de matériels ou équipements maritimes, l’installation d’une pompe de cale nécessite également un spécialiste. Si vous voulez adopter une pompe de cale automatique, vous pourrez l’associer à un contacteur automatique mécanique. Cela engendre une fonction automatique. Voici le processus d’installation idéal pour installer une pompe par compartiment.

D’abord, vous devez bien choisir la position des pompes de cale par rapport à la disposition des autres pompes et tuyaux ainsi que de la direction de flux d’eau. Vous devez vous équiper d’une crépine, d’un tuyau renforcé, d’embouts et des clapets anti retour pour que l’eau ne descende pas de la crépine. Il y a 5 étapes à suivre :

  1. préparer l’emplacement
  2. installer la crépine et le flotteur : embouts et petits tuyaux à combiner
  3. brancher les fils électriques : coller et brancher avec un interrupteur
  4. installer le passe-coque
  5. installer le tuyau de refoulement ou le grand tuyau de sortie avec la crépine

Après avoir installé la pompe de cale de votre bateau d’une manière optimale, vous ne risquez pas d’avoir des problèmes de fuite d’eau indésirable.

Comment fonctionne une poire d’amorçage ?

Une poire d’amorçage est indispensable pour le bon fonctionnement du moteur d’un bateau. Vous ne devez pas la prendre à la légère si vous voulez naviguer en toute tranquillité. Pour un pécheur en mer, il est important de vérifier le bon fonctionnement de la poire d’amorçage. Voici quelques points à prendre en compte sur ce point.

L’importance d’une poire d’amorçage

Une poire d’amorçage est un élément important pour un navire vu son utilité pour le moteur. En effet, cet élément a pour principal rôle de remplir le carburateur de votre bateau. Ainsi, vous n’aurez aucun problème sur la quantité de carburant quand vous serez sur les eaux. Normalement, cet accessoire sert à tirer le carburant à travers la conduite adaptée à cela.

La poire peut être amorcée manuellement en cas de besoin. Il suffit d’accéder à l’emplacement du moteur pour le faire. Vous n’aurez qu’à appuyer plusieurs fois sur l’apprêt pour mélanger correctement l’air avec le carburant. En tout cas, cet accessoire doit fonctionner tout seul s’il est de bonne qualité et en bon état.

Pourquoi une poire d’amorçage ne fonctionne-t-elle pas ?

Comme toutes les pièces du bateau, une poire amorçage peut ne pas fonctionner dans certains cas. Cela peut être dû à un problème au niveau de l’ampoule ou des conduites du carburant. La canalisation pour le carburant peut aussi avoir un impact sur le bon fonctionnement de votre poire. Notez en outre que celle-ci peut laisser entrer trop d’air si elle est fissurée ou durcie.

Vous pouvez alors subir un problème de tirage de carburant au niveau du carburateur du bateau. Il faudra aussi assurer le bon fonctionnement du filtre à air pour profiter pleinement de votre poire d’amorçage. La présence d’un bouchon dans le réservoir peut aussi vous causer des problèmes.

Une poire comme outil de diagnostic pour votre bateau

Comme vous pouvez vous y attendre, une poire d’amorçage peut servir d’outil de diagnostic pour votre navire de pêche. L’accessoire agit directement sur le circuit d’alimentation du carburant. Vous pouvez alors vous en servir au cas où le moteur perd de la puissance allant jusqu’à se caler. Plus précisément, la poire d’amorçage forcera l’envoi du carburant vers le moteur.

Vous pouvez vérifier l’entrée d’air dans le système si le carburant refuse de monter malgré le fonctionnement de la poire. Il suffit de ce fait de vérifier l’accessoire pour assurer l’alimentation et la puissance de votre moteur. Vous pouvez alors pêcher tranquillement même en pleine mer.

Vérifiez si la poire s’aplatit ou ne durcit pas

Vous avez remarqué que la poire reste aplatie après avoir démarré le moteur ? Notez que ce genre de problème peut aussi se manifester après un amorçage à la main. En tout cas, cela veut dire que l’accessoire est obstrué. Il se peut aussi que votre poire présente un mauvais fonctionnement. En effet, il se peut que le produit affiche des problèmes au niveau des valves.

Il se peut aussi que l’accessoire ne durcisse pas à un certain moment. Cela peut être causé par une fuite en aval au niveau de la poire. Vous pouvez aussi vérifier le flotteur du carburateur qui peut se bloquer.

C’est quoi le vernis marin ? Qu’est-ce qu’un vernis polyuréthane ?

D’une manière générale, le vernis marin est utilisé pour embellir et à préserver le bois du bateau. Il est souvent employé pour protéger le navire des diverses agressions produites par la navigation et s’applique en effet sur les bateaux traditionnels. La protection donnée au navire peut prolonger la durée de vie du bateau.

Quel vernis marin choisir ?

Il existe plusieurs types de vernis marin et il est peut-être assez difficile d’en choisir un. Quelles sont alors les diverses catégories ?

  • Au niveau de la composition, il existe deux types de vernis marin : le verni mono-composant et le vernis bi-composant. Le verni mono-composant adéquat sur des contres plaqués marine. Le vernis bi-composant utilisé pour protéger le contre-plaqué.
  • Concernant le rendu du vernis, il distingue : le vernis brillant et le vernis mat. Le vernis marin brillant garantit un revêtement brillant à votre navire. Le vernis marin mat est en effet un vernis sobre.
  • À propos de la coloration du vernis, il existe des vernis incolores et des vernis teintés. Par son nom, le vernis incolore n’ajoute aucune couleur au bois. Contrairement au vernis incolore, le vernis teinté procure un coup de neuf à votre bois.

Comment mettre le vernis marin ?

Avant la procédure, il faut d’abord préparer les boiseries pour perfectionner l’adhésion de la peinture sur la surface. Réparez-les et pensez à couper les parties usées. Il faudra enlever les traces de l’ancien vernis en le ponçant sans solvant. Pour parfaire le ponçage, employer des feuilles abrasives manuelles tout en travaillant dans le sens du bois. Pour raviver la teinte du bois et moderniser l’adhésion du vernis marin, posez une sous-couche. L’application du vernis se fait à l’aide d’un pinceau et au moins 3 à 5 couches uniformes et homogènes. Le délai conseillé pour le séchage entre chaque couche est de 24 heures.

Qu’est-ce qu’un vernis polyuréthane ?

Le vernis polyuréthane est un type de vernis très tenace formulé pour que ses chaînes microscopiques de molécules de résine se fixent profondément durant leur séchage. Résultant d’une finition plus résultante à l’eau, aux solvants, à l’abrasion et aux impacts que les vernis classiques. Il existe deux types de vernis polyuréthane : à base d’eau et à base d’huile.

Vernis polyuréthane à base d’eau

Le vernis polyuréthane à base d’eau peut offrir une gamme de choix de différentes qualités et durabilités. Il est recommandé d’opter pour un vernis qui contient de l’uréthane pour obtenir une qualité optimale. Ce type de vernis ne produit aucune odeur d’ailleurs, il ne présente aucun danger pour la santé.par contre, le vernis polyuréthane à base d’eau est moins résistant au calcium résultant de l’extérieur, comme la neige sur les bottes en hiver. Il est donc conseillé de bien protéger les planchers en vernis polyuréthane à base d’eau.

Vernis polyuréthanes à base d’huile

Le vernis polyuréthane à base d’huile, également appelé Varathane, est un produit économique et facile à poser sur les planchers de bois. En revanche, il peut libérer une forte odeur lors de son application. Ce vernis a tendance d’avoir une teinte jaunâtre. Il a une faible résistance aux égratignures ce qui implique une restauration plus fréquente. Ce type de vernis est peu recommandé puisqu’il peut être navrant pour l’environnement et la santé.

Qui sonne la corne de brume ?

Se déplacer en eaux maritimes nécessite qu’on prenne des mesures, comme l’utilisation de la corne de brume. Celle-ci rend possible qu’on puisse faire du bruit et signaler notre présence aux autres bateaux. Notamment, il se trouve des obligations pour certains bateaux pour ce qui est de l’utilisation de ce type d’élément.

Les bateaux dans le brouillard

Dans le cas où le niveau de brouillard dépasse un certain seuil, il devient nécessaire de faire l’utilisation de la corne de muse. Sans cette action, les bateaux environnants risquent de s’entrechoquer avec le vôtre. Il existe un ensemble de critères qu’il vous est nécessaire de respecter pour ce genre de dispositifs. Par exemple, vous devez vous faire entendre sur au moins 2 miles marins, soit 4km.

Ici, le but est surtout de faire savoir qu’il y a d’autres bateaux dans les environs. Certains navires pourraient avoir besoin d’assistance, et en signalant votre présence, vous vous rendez disponibles. Si le brouillard nuit grandement à la visibilité, il convient d’utiliser votre corne de brume de manière fréquente, jusqu’à ce que le tout se dissipe.

Les modèles obligés d’avoir une corne

La taille de votre bateau est le point décisif pour ce qui est de l’obligation d’une corne de brume ou non. Dans le cas où votre bateau fait 12 mètres ou plus, vous êtes contraints d’en acquérir une. Si ce n’est pas le cas, vous êtes passibles pour une amende.

En dessous de ce seuil, vous n’aurez pas de telles sanctions si vous ne disposez pas d’une corne fonctionnelle. En revanche, celle-ci reste conseillée, en raison de son application pratique des plus importantes en mer. Dans bien des cas, cela peut vous être d’une grande utilité.

La nécessité de faire du bruit en bateau

Sur les larges étendues d’eau, il est important de pouvoir déterminer quels bateaux sont présents dans votre voisinage immédiat. Même si ce n’est pas une corne de brume pour les petits bateaux, vous devez être en mesure d’indiquer votre présence sonorement.

Pour cela, vous pouvez par exemple utiliser une casserole, sur laquelle vous allez taper. L’essentiel est de pouvoir être distingué sur une longue distance. Cette mesure en particulier peut vous aider à notifier votre présence aux autres sur la mer. En effet, il n’y a pas d’éléments qui vont bloquer le passage du son.

La nature du bruit à produire

Une autre règle portant sur la corne de brume pour les bateaux est qu’il faut produire un son pouvant être grave ou aigu. Les petits bateaux doivent utiliser un son aigu, et au fur et à mesure que les bateaux deviennent larges, il faut recourir à un son grave.

Ainsi, à partir d’un certain seuil, il va être requis aux larges bateaux d’utiliser des gongs. Ceux-ci produisent un son à la fois puissant et avec une tonalité basse. Ainsi, le son permet à la fois de déduire qu’un bateau n’est pas loin, ainsi que la taille de ce dernier. Le tout est de bien faire attention à faire vos choix concernant ceux-ci.

Quels feux de navigation pour un bateau à moteur ?

Les feux de navigation bateau, il s’agit là d’une catégorie d’équipement de sécurité que doit comporter une embarcation. Les modèles à propulsion mécanique de moins de 12 mètres n’échappent pas à cette règle qui leur est légèrement plus conciliante.

Quels feux de navigation choisir ?

D’ordre général, la même règle s’applique pour l’ensemble des embarcations à moteur. Ce, dans l’optique où ils mesurent moins de 50 mètres de longueur lorsqu’il s’agit de feux de navigation bateau. Le fait est que ces modèles ont pour obligation de présenter :

  • Un feu de tête de mât de couleur blanche et continue avec un angle de visibilité de 225° ;
  • Les feux de côté comprenant le feu tribord (vert) et bâbord (rouge) projetant la lumière en continu pour un angle de visibilité de 112,5° ;
  • Un feu de poupe de couleur blanche et ininterrompue avec un angle de visibilité de 135°.

Les moins de 12 mètres peuvent déroger à la règle

Il va sans dire que conformément aux Règles 22, 23 et 25 du RIPAM, les embarcations de moins de 50 mètres se doivent de présenter les feux de navigation bateau susmentionnés. Toutefois, cette législation a aussi prévu que les modèles de moins de 12 mètres peuvent déroger à cette réglementation.

En effet, ces derniers peuvent se passer du feu de poupe et du feu de tête de mât et faire en sorte de les remplacer par un autre.

À savoir, le feu visible sur tout l’horizon qui vient s’ajouter aux feux de côté en apportant sa couleur blanche éclairant en continu l’ensemble de l’embarcation, grâce à un angle de visibilité de 360°.

Les moins de 7 mètres aussi

Si les moins de 12 moins peuvent bénéficier d’une certaine souplesse par rapport à l’usage de feux de navigation bateau, les moins de 7 mètres de long le sont davantage. Simplement parce que pour ces derniers, il suffit d’installer le feu visible sur tout l’horizon et le tour est joué. Ce, à condition bien entendu que leur vitesse ne dépasse pas la barre des 7 nœuds.

Aussi, vous devez savoir que la portée de ce feu de navigation est limitée à 2 milles. C’est aussi le cas pour celle des moins de 12 mètres affichant 1 mille pour les feux de côté et également 2 milles pour le feu de tête de mât et le feu de poupe.

Du côté des bateaux à moteur d’une longueur comprise entre 12 et 50 mètres, le feu de tête de mât a pour avantage d’atteindre la barre des 5 milles. Un niveau limité à 2 milles pour les autres feux de navigation obligatoires dans cette catégorie. La qualité du produit peut influencer ses performances alors vous devez zoomer sur ce point.

Quel ampérage pour un chargeur de batterie marine ?

Les besoins en énergie doivent être des mieux gérés une fois que vous êtes en haute mer. En cela, les batteries tiennent un rôle clé, et il faut prendre toutes les mesures qu’il faut pour bien faire cela. Un des choix à bien assurer est celui de la batterie, ainsi que des différents détails qui s’y rapportent comme l’ampérage.

L’importance d’avoir un bon chargeur

Les performances des dispositifs d’énergie auxquels on a accès en pleine mer doivent être optimales. Le chargeur batterie bateau doit être dans cet esprit, autrement cela risque d’être une nuisance pour vos déplacements maritimes. Au moment de vous décider pour celui-ci, il doit obligatoirement répondre à plusieurs critères de haute qualité.

Le fait d’avoir un bon ampérage pour le chargeur est une des nécessités qui viennent assurer de bonnes performances pour votre batterie. Cela permet d’exploiter cette dernière comme il faut, et de lui faire utiliser son plein potentiel. Il ne faut donc pas lésiner sur les détails quand on est amenés à choisir.

Choisir l’ampérage suivant les batteries

Les batteries elles-mêmes sont un des points à prioriser au moment de se décider pour l’ampérage. Il faut se baser sur les paramètres de ces dernières pour déterminer quel est l’ampérage qui convient le mieux. Une règle générale fait que le niveau de celui du chargeur batterie bateau doit être de 20 à 25% celui de votre batterie.

Ainsi, pour une batterie moyenne de 400mA, il convient de choisir un modèle de chargeur qui oscille entre 80A à 100A. Si vous vous distancez trop de ces gammes d’ampérage, le tout risque d’être nuisible autant pour le chargeur que pour la batterie. Ensuite, il ne faut pas hésitez de poser des questions au vendeur avant de faire des achats.

Les autres critères pour le chargeur

Parmi les détails importants qui portent sur le choix du chargeur batterie bateau, on peut faire mention de la gestion de la chaleur émise. En effet, il est normal pour la batterie d’augmenter en température quand elle est en fonctionnement. Seulement, cela devient plus important au fur et à mesure que la batterie est large.

Le chargeur lui-même peut être affecté par cette chaleur s’il est trop à proximité de votre batterie. Il faut donc choisir un modèle qui gère ce problème au mieux. Ensuite, les batteries peuvent aussi se charger depuis plusieurs points, qui vont se charger individuellement.

Bien faire le choix de la batterie

Avant même de vous décider pour un chargeur batterie bateau, il convient de faire un choix judicieux pour la batterie elle-même. Si vous prenez les bonnes mesures pour cet élément, il ne sera pas trop difficile de faire le choix d’un bon chargeur.

La puissance se compte parmi les points dont il faut prioriser le choix. Notamment, il faut que celle-ci soit adaptée à votre bateau, et aux détails comme les dimensions de celui-ci. Plus votre bateau est grand, plus il va falloir une batterie puissante pour ses besoins en énergie. Par ailleurs, prendre votre temps avant d’opter pour une batterie donnée permet d’assurer un usage optimal.